Après avoir percé le marché en plein développement de l’éolien grâce à une technologie plus éco énergétique et plus résistante en climat hostile, le manufacturier de balises lumineuses Technostrobe de Coteau-du-Lac s’attaque à de nouveaux marchés et participera à la Mission commerciale du Québec au Brésil dès lundi 9 avril et jusqu’au 13 avril.
L’entreprise québécoise, dont le siège social est situé dans le parc industriel de Coteau-du-Lac possède également des points de ventes aux États-Unis. Technostrobe a pour mission d’offrir des solutions de qualité en matière de technologies d’éclairage innovantes, efficaces et fiables. Elle fabrique des systèmes de balisage lumineux qui protègent les structures en hauteur présentant un danger potentiel pour la navigation aérienne, notamment les tours de communication et les parcs éoliens.
« Nous avons au cours des dernières années beaucoup investi en recherche et développement et nos produits ont déjà séduit le géant mondial de l’éolien REpower, explique Francis Lacombe, vice-président chez Technostrobe. Nous souhaitons maintenant élargir les débouchés pour notre technologie, fruit d’une étroite collaboration avec des centres de recherches québécois. »
Autre élément intéressant concernant les produits de cette firme de la Vallée-du-Haut-Saint-Laurent, leurs balises lumineuses à base de DEL utilisent 90% moins d’énergie que les systèmes incandescents et offrent la meilleure garantie de l’industrie. De plus, en collaboration avec le Technocentre éolien de la Gaspésie, elles ont été testées pour résister à des températures nordiques extrêmes.
Les balises de Technostrobe sont notamment en place dans les parcs éoliens d’Anse-à-Valleau, à Carleton, à Saint-Ulrich, ainsi qu’à Baie-des-Sables. Bientôt, elles seront installées sur les turbines de REpower au Lac Alfred et au Parc Éolien du Massif du Sud, géré par EDF-EN Canada.
Technostrobe compte parmi ses clients, des entreprises comme Bell, Telus et Hydro-Québec.
INFOSuroit.com souhaite une bonne mission commerciale au Brésil pour François Lacombe et les représentants de cette entreprise de chez nous.
