La députée de Châteauguay et ministre de l’Environnement et de la Lutte aux changements climatiques, MarieChantal Chassé, a visité les anciennes lagunes de Mercier en compagnie de la mairesse de Mercier, Lise Michaud le 29 octobre dernier. Il s’agissait pour la nouvelle ministre de constater l’ampleur de ce sérieux problème de contamination des eaux souterraines.
La mairesse de Mercier Lise Michaud avec la ministre de l’Environnement et députée de Châteauguay MarieChantal Chassé
Rappelons que depuis le début des années 70, la nappe phréatique du secteur est contaminée par les lagunes de Mercier, le plus important site pollué au Québec et l’une des pires catastrophes environnementales en Amérique du Nord.
« Ce site constitue pour moi le principal enjeu environnemental de la circonscription et je me devais d’aller rapidement faire l’état des lieux. J’ai dit en campagne électorale que nous allions y voir et, dès mon arrivée en poste, j’ai tenu à ce qu’on me fasse un portrait d’ensemble de cette problématique. J’ai été heureuse de constater que le ministère accordait déjà une grande priorité à cet enjeu et qu’il était résolument à la recherche de solutions », a indiqué MarieChantal Chassé.
Après avoir pris connaissance de l’ensemble de l’historique de la contamination des anciennes lagunes de Mercier, la nouvelle ministre a toutefois rapidement conclu qu’une visite du site s’avérait essentielle.
« Je sais que de nombreuses annonces ont été faites dans ce dossier au cours des 25 dernières années, dont la dernière en mars 2018. Toutefois, la problématique de la contamination reste entière. J’entends prendre tous les moyens à ma disposition afin de me forger ma propre opinion et ainsi pouvoir identifier les solutions les plus prometteuses, en collaboration avec l’équipe du ministère et tous les autres intervenants concernés par ce dossier d’une grande complexité scientifique et technologique », soutient MarieChantal Chassé.
La députée de Châteauguay et ministre de l’Environnement et de la Lutte aux changements climatiques a donc déjà amorcé le travail de terrain et la prise en compte des défis qui seront les siens au cours des quatre prochaines années.
